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Un court-métrage uniquement dansé
Sélectionné dans une vingtaine de festivals, en France et dans le monde
de cinéma, danse, Amnesty International
Nombreux "coup de coeur",
prix Unifrance, diffusion Adami
Support pédagogique en milieu carcéral
Acheté par le Ministère de la Culture

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« Votre film est un hymne à la vie. »

« Ce film est bouleversant »

« Un film vibrant »

 « Une pépite »

« Une perle de sensibilité »

« Une claque cinématographique »

« De la finesse, de la sensualité, de la conscience »

« Un ovni »

« Un voyage à travers les sens »

« Une expérience de cinéma »

Un film écrit et réalisé par Marine Billet
Avec Bouba Landrille Tchouda
Musique d'Henry Torgue,
compositeur reconnu de musique de scène et de danse

( Jean-Claude Galotta, Carolyn Carlson, Philippe Genty, Raoul Ruiz etc)
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SYNOPSIS

Les états d'âme d'un homme emprisonné

Le corps d'un homme se tend, se détend, explore toutes les possibilités des murs qui le contraignent et des murmures qui l'assaillent.

Il est emprisonné.

Ses états d’âme carcéraux sont exprimés par la danse .

Cet homme est enfin relâché. Mais est-il libre pour autant ? Et peut-il se réinsérer ?

Une métaphore dansé du conditionnement et de la liberté

NOTE DE MARINE

Lors de mes études de cinéma, j'ai fait des recherches sur le film de prison en tant que genre. J'ai composé un inventaire puis j'en ai analysé les codes et les thèmes. Pour écrire ce film, je me suis ensuite fortement inspirée d’écrits de prisonniers.

Mais pour moi, ce film, c'est aussi une métaphore de la prison intérieure (notre tête, notre corps, nos émotions, nos conditionnements, nos difficultés de liens.) On peut se sentir libre enfermé et enfermé en étant libre. 

Ayant étudié, analysé pendant plusieurs années les tableaux, la peinture,  la photo, la mise en scène, lors de mes 6 ans d'études cinématographique, je suis sensible au travail de l'image et du son. Chaque détail compte et j'ai voulu travailler cette matière cinématographique, dans le sens le plus épuré, sans parole, seul en scène. 

J'ai choisi de tourner le film uniquement en pellicule, ce qui demande beaucoup plus de discipline et une grande préparation en amont. On a peu le droit à l'erreur. Heureusement, comme j'étais scripte sur des tournages de film depuis des années, je pouvais gérer les comptes pellicules, les chutes etc...

Comme mon approche cinématographique est basée sur les symboles, la poésie, le graphisme et le corps, j'ai souhaité faire incarner ce personnage par un danseur chorégraphe.

Un jour, je suis allée voir un spectacle de Bouba Landrille Tchouda, un artiste qui mêle danse hip-hop, danse contemporaine et capoera. Il se trouve qu'on était dans la même classe à l'école primaire. Je lui ai proposé mon film et il a tout de suite accroché puisqu'il intervient souvent dans des Maisons d’Arrêt en Région Rhône- Alpes pour encadrer des ateliers autour de la danse.

Malgré des parcours éloignés et différents, on avait une même envie de traiter certains thèmes, chacun à travers son art...

 

Pendant des années, nous avons travaillé ensemble à la chorégraphie et à la mise en place du décors (qui est un personnage à part entière), jusqu'au moment du tournage. 

Ayant une vision précise de ce que je voulais, j'ai participé à la création du décors. Ma mère a crée une maquette avec des cartons. Mon père m'a aidé à chercher le moindre accessoire dans tout l'Isère.

J'ai choisi de travailler avec le compositeur Henry Torgue, spécialiste des musiques de scène et de danse (Caroline Carlson, JC Galotta etc) car j'écoutais ses musiques depuis longtemps et j'avais utilisé certaines d'entre elles dans mes films d'école. Il se trouve que Bouba Landrille Tchouda avait aussi collaboré avec lui. Ça a été une joie pour moi de découvrir le peaufinage de la composition au fur et à mesure de la création de la chorégraphie. On faisait des allers-retours entre la musique et la danse jusqu'à trouver l'accord parfait. Tout était prêt pour le tournage. Henry a ensuite retoucher sa musique pour les besoins du montage.

Beaucoup de détenus ne trouvent que l’écriture comme source de liberté. Dans murmures, la danse remplace cette forme d’expression...L'idée est que la danse soit compréhensible par tous, qu’elle serve à raconter une histoire. Plus que le langage, la danse est universellement accessible, elle permet de dénoncer avec finesse, au-delà des frontières...Le geste met à nu la mémoire du corps, ne cache rien...La détresse, la joie, la colère, l’ennui, le désir peuvent êtres lus et ressentis à travers la gestuelle du danseur...Le film dansé offre une double transmission d’émotions et de réflexions...

Quand j'ai réalisé ce film, je ne me doutais pas de l'impact qu'il aurait et qu'il serait utilisé par des professionnels pour des ateliers pédagogiques en milieu carcéral. 

1 an plus tard, Bouba Landrille Tchouda a choisi d'adapter le film en pièce chorégraphique, reprenant le titre "murmures", certaines scènes et certains décors du film. Cette pièce a eu un succès à l'international et a été présenté au Palais de Chaillot à Paris. 

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Productrice : Stéphanie DOUET
Réalisation : Marine BILLET

Scénario : Marine BILLET, avec la participation de Bouba Landrille TCHOUDA

Chorégraphie :Bouba Landrille TCHOUDA, avec la participation de Marine BILLET
Directeur de production : Nathalie LANDAIS

Musique : Henry TORGUE

Image : Thierry GODEFROY

Son : Dominique DEREYMEZ
Montage : Aurélie JOURDAN

Montage Son, Mixage : Mathis RIFKISS et 

Frédéric THÉRY

Décors : Forence Curt, Clémence Fétiveau, Rodrigue Lombard, Albert Copertino

Support : 35 mm pellicule

Durée : 22 min

Date : 2009

Une production Sensito Films
avec la participation

de FelinFilms

de la Région Rhône-Alpes, aide à la production

de la Région Ile-de-France, aide à la post-prod

du Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports DDJS - Bretagne

de l'Adami

de la Procirep Angoa

de la Sacem, création musique du film

du conseil Générale de l'Isère

de la ville d'Echirolles et du service DCAP

de la ville de Grenoble
des ateliers du théâtre municipal de Grenoble

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Si vous voulez voir le film et le making of gratuitement, 
écrivez-moi à 

contact.cesliensinvisibles<@>gmail.com

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"Tellement de choses dites transcrites, ressenties et transmises en un temps très court "
Michelle Delorme 

""Murmures" est un film exigent, qui devait être sacrement casse-gueule  sur le papier. Et franchement, le résultat final est vraiment très  
très convaincant. ll y a quelqu'un derrière la caméra "
Nicolas Brossette

"Votre oeuvre est magnifique "

Caroline Barbaras  

"Je garde un souvenir vraiment très ému de la fois où j’ai découvert    « Murmures » en festival.Je viens de le revoir et je suis à nouveau chamboulée"

Sylvie Barché

"Ce film possède une belle sensibilité féminine. C'est un film d'émotions, qui laisse pour une belle part le spectateur avec son imaginaire. Il n’a en effet pas besoin de parole."

"J'ai apprécié, comme toute la salle, le film "murmures", j'aimerais pouvoir m'en servir "

Michel David, Président de l'ASPMP

"Je ne manquerai pas de suivre vos actualités car j’ai vraiment apprécié votre film, votre approche et votre discours"

Camille Glace-Jabinet

"Une claque. Réussir à mettre en film une telle sensation d'enfermement corporel, avec les détails, les respirations, les murmures, j'avais jamais ressenti ça dans un film "

SL

"Chère madame, j'ai eu le bonheur de voir votre film. Il me semble être une évocation surement très pertinente de l'expérience carcérale. Psychiatre à Fleury-Mérogis depuis 10 ans, je n'ai pourtant pas la prétention de savoir que vivent les détenus. On peut imaginer, fantasmer des choses mais rien ne peut égaler le vécu personnel et singulier de l’emprisonnement. Votre film sait être très beau et sans prétention à ce sujet. Là est sa grande force. "

Antoine Paschoud

"J'aimerais utiliser ce film avec les ados, parce qu'il me semble que chacun peut être touché à des moments différents, par des messages différents, grâce à la richesse de ce film. Il m'intéresse parce qu'il permet de voir comment l'esthétisme peut sublimer les émotions, les affects, ce qu'un ado ne réussit souvent pas à dire."

Laurent Ratazy, Educateur 

"J’ai eu la chance de découvrir votre film « Murmures » qui m’a touché à la fois d’un point de vu professionnel mais également à titre personnel par sa grâce. Je souhaiterai donc pouvoir faire connaître ce film à l’ensemble de mon équipe, aux détenus et peut-être l’utilisé dans un atelier autour de la « vie quotidienne en maison d’arrêt "

Eric Lecomte

"Tout est parfaitement maitrisé dans ce film ! Vos choix sont radicales et assumés " 

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